Le reggaeton est devenu un genre musical incontournable, surtout pour toute soirée comportant son lot de fausses ongles, pantaloons délavés, consommation de cocktails à fort tenure de sucre et surtout gros postérieurs. Ceux-ci sont strictement nécessaires pour un bon déroulement des danses accompagnant ce genre musical, franchement incommode aux oreilles.
C’est justement sur ce dernier aspect que l’on veut se focaliser: le gros boulard.
Le reggaeton n’est en effet la seule chose qui a connu un croissance remarquable lors des 5 dernières années (source: Times of India): si au debut du nouveau millénaire la mode était au fessier plutôt mince, la tendance s’est clairement inversée. Dans la balance entre cambrure du profil et largeur du diamètre postérieur, ce dernier a clairement pris le dessus. En suivant le vieil adage « shake that moneymaker », il semblerait en effet que plus il y a de volume, plus il y a la possibilité de dégager du profit, monétaire ou pas.